L’informatique, depuis longtemps, nourrit mon inextinguible soif du « comment ça marche ? »
Au fil des années, j’ai acquis certains savoir faire, que vous pouvez aujourd’hui vous offrir moyennant des tarifs raisonnables.
De scènes en sites, de plateaux en écrans, un aperçu de ce que j’ai pu faire et de ce que je peux vous proposer…
L’informatique, depuis longtemps, nourrit mon inextinguible soif du « comment ça marche ? »
Au fil des années, j’ai acquis certains savoir faire, que vous pouvez aujourd’hui vous offrir moyennant des tarifs raisonnables.
On peut avoir toutes sortes de raisons de se retrouver dans un atelier théâtre :– parce que je suis timide et je veux les outils pour gagner en assurance – parce que j’ai du goût pour le théâtre, j’en ai déjà fait, et d’ailleurs j’aurais pu en faire mon métier – parce que Maman m’a inscrit là, je voulais faire de la batterie – parce que c’est mon destin – par curiosité…
Du coup l’animateur a une lourde responsabilité : ne décevoir personne et, si possible, apporter quelque chose à tout le monde !
Ce projet de longue haleine a été lancé en 2001. Une tétralogie, ce sont quatre pièces articulées entre elles, se prolongeant l’une l’autre. Sur le projet, le très vieux site (déjà l’œuvre de votre serviteur) est toujours en ligne.
Quatre pièces, onze personnages, six comédiens, un auteur (que je connais bien : mon propre père).
D’abord, il y eut des lectures publiques, puis Le Chantoir du Cendrier, spectacle chanté mêlant extraits de la Tétralogie mis en chanson, chansons issues du répertoire des interprètes, polyphonies, et, enfin, l’arrivée à la scène des quatre pièces en 2004 au Vingtième théâtre.
Je jouais dans deux d’entre elles (Quartus dans L’Île du Café Club et L’Amant dans Boulevard), seul à interpréter deux personnages différents (Luc Cendrier et Marie-Claire Davy jouaient chacun dans trois pièces mais y représentaient les mêmes personnages à différents âges de la vie).
En 2005, trois des pièces sont reprises au Theâtre Le Proscenium. Je ne joue plus qu’une pièce, mais je reprends la mise en scène de Si bleu, si calme, première pièce du cycle.
Je est un homme. Jeune encore. Un peu velléitaire. Écrivain ? Il va nous faire le récit (au passé) de son étrange aventure, non pas tant à destination d’un public auquel il ne croit pas que pour se prouver que c’est arrivé. Au début, désireux de trouver la sérénité nécessaire à sa création (ou soucieux de cacher son incapacité à écrire au fond de la forêt), il s’est isolé dans un recoin de verdure, loin de toute civilisation – deux heures de marche pour le premier village. Un matin, la radio se tait. D’un naturel peu inquiet, il attend une semaine pour quitter sa retraite. Il retrouve alors le monde qu’il a laissé, moins les gens… Plus personne nulle part, mais pas non plus de cadavres ou de ruines. Face à toutes sortes de créatures – les bêtes, elles, n’ont pas disparu – il tente de se réorganiser une existence, avec la maladresse confondante du solitaire soudain esseulé. Il recevra l’aide, fictive mais bienvenue, de gens qu’il a connus : ami fidèle, ancien amour, patron de bistrot, automobiliste acariâtre… et Armelle. Interrompant, parasitant le récit, apparaissent des personnages bizarres et cocasses, parlant au présent, dont on devine peu à peu qu’ils viennent de Je et s’imposent à lui, et dont le délire assumé contrebalance la folie qui gagne Je peu à peu…
Pour ceux qui préfèrent, il existe également un Curriculum vitæ dans un format plus classique
Histoire de se démarquer de ses parents comédiens… Noé choisit très tôt d’embrasser la carrière dramatique.
Dès l’âge de sept ans, il accompagne sa mère en l’aidant sur la régie. À neuf, il participe à son premier atelier « adultes ». À quatorze, il co-anime des stages de marionnettes. À quinze, c’est le premier spectacle professionnel : L’Épopée du Lion, d’après Victor Hugo, spectacle marionnettes et conte.
Il se lance ensuite dans des études de cinéma à l’Université de Paris III, presque jusqu’à la maîtrise.
Dans le même temps, il anime des ateliers théâtre à la Maison Pour Tous de Chatou (78), où il deviendra (sur)chargé de la communication pendant sept ans (jusqu’en 2003), et où il créera, en 2001, « Unique au monde ! » Assumant seul la responsabilité artistique du projet (auteur et seul acteur), il réussit son pari. Le spectacle sera notamment vu au festival Avignon Off 2004.
Par ailleurs, on a pu le voir à la télévision dans un épisode de la série Les Intrépides, en vidéo dans plusieurs films de Richard J. Thomson, et sur scène à Paris dans La Tétralogie du Cendrier et ses dérivés. Il a aussi touché à la mise en scène avec Sylvain Le Crom (Barjo, chien de garde, 2002). Ces derniers temps, il s’active au Théâtre Espace Marais, dans de multiples rôles – notamment celui du Gascon immortel, Cyrano de Bergerac.
Enfin, il passe beaucoup (trop) de temps sur son ordinateur, y a acquis des compétences de graphisme et de webmastering qui l’ont amené à s’impliquer dans le projet de blogiciel Dotclear, dans le cadre duquel il anime aujourd’hui conférences et formations.
Dans ses projets et cartons, on trouve du spectacle de rue, de la chanson… et toutes les surprises dont ce site ne manquera pas de vous offrir la primeur.